La procrastination peut être définie comme l'acte de retarder une action jusqu'à la dernière minute. Le mot vient du préfixe latine pro-, qui veut dire “en avant”, et le suffixe -crastinus, qui veut dire “à demain”. (Agboga) La procrastination peut devenir un problème chronique pour chaque personne, à n'importe quel âge. Malgré plusieurs parents qui croient que l'origine du problème sont les réseaux sociaux, les cellulaires ou la paresse, la procrastination n'est pas un problème nouveau. Par exemple, les anciens grecs et romains écrivaient à propos de combattre contre la procrastination. (Jaffe) La procrastination a beaucoup d'effets, la majorité néfaste, sur la santé.
Généralement, on dit que la procrastination est le résultat d'un manque de motivation ou de distractions. En réalité, la procrastination est causée par le système limbique et cortex préfrontal dans le cerveau qui se bat. Le système limbique est une vieille partie vraiment active du cerveau qui réglemente nos réactions comportementales et émotionnelles. Le cortex préfrontal est une plus jeune partie moins développée qui réglemente la personnalité et le pouvoir décisionnel. (Kor) D'habitude, le système limbique gagne cette bataille, qui résulte en procrastination. Ça c'est parce que la procrastination se sent bien pour le moment, et le système limbique veut avoir ce bon sentiment, et ne veut pas penser aux conséquences. (Kor)
On dit souvent que la procrastination est le résultat de la mauvaise gestion du temps, les distractions, un manque de motivation et la paresse. Cependant, les chercheurs psychologiques modernes la voient comme l'incapacité de réguler soi-même. (Jaffe) Ça peut être à cause de la mauvaise gestion du temps, ou, comme les expertes pensent, l'échec à diriger les émotions. Au centre, la procrastination est l'incapacité à gérer les sautes d'humeur et les émotions. Les gens qui procrastinent chroniquement ont aussi souvent les réactions émotionnelles et parfois les conséquences négatives de leurs actions, qui entraîne aux plus de pensées négatives et retarder les tâches importantes. (Ling)
Un autre facteur de la procrastination est le la pensée temporelle. La pensée temporelle est la façon dont un individu se voit à l'avenir. Les êtres humains ne sont pas très bons à la pensée temporelle. (Ling) La pensée temporelle entraîne les procrastinateurs à penser que leurs “soi futurs” vont être “meilleures”, alors ils vont être mieux avec résoudre les problèmes présents. Ils pensent que leur soi à l'avenir sera nouveau et meilleur et capable de résoudre tous leurs problèmes et sera capable de finir les grandes tâches du présent. (Ling) En réalité, les êtres humains ne changent pas si rapidement, alors la tâche continue d'être retardée de plus en plus à l'avenir, qui est la procrastination.
Une croyance commune est que la procrastination est, à sa meilleure, bénéfique à un individu. On croit que le stress que la procrastination crée peut produire les meilleurs résultats. (Jaffe) Plusieurs personnes même disent qu'il n'importe pas s'ils procrastinent ou non parce que la tâche est accomplie quand même, alors qui se soucie comment on est arrivé? Au contraire, les résultats de ne pas procrastiner dépassent de loin les coûts de la procrastination. Bien que, au début, il peut sembler l'opposé, mais finalement, elle ratrappe, et le montant total de stress pour un procrastinateur va être plus élevé que quelqu'un qui ne procrastine pas. De plus, les études ont montré que les étudiants qui procrastinent reçoivent, en général, de mauvaises notes que les étudiants qui ne le font pas. (Jaffe) Finalement, la procrastination est une forme de sabotage de soi, avec ceux qui procrastinent essaient de miner soi-même. Selon Joseph Ferrari, un professeur de psychologie à DePaul University, “[les procrastinateurs] préfèrent que les autres pensent qu'ils manquent l'effort que capacité” (qtd. in Jaffe).
Alors, qu'est-ce qu'on peut faire à propos de la procrastination? Malheureusement, beaucoup de gens sont des procrastinateurs chroniques. Selon l'Association américaine de psychologie, environ 80 à 95 pourcent des étudiants universitaires procrastinent. (Novoteny) Les conséquences de la procrastination sont grandes et bonnes d'éviter. Les étudiants peuvent pratiquer la pensée temporelle pour s'améliorer, comme penser aux sois au futur réaliste en lieu d'idéaliste. La procrastination chronique est comme la dépression - on ne peut pas simplement arrêter de procrastiner. (Ling) Les étudiants peuvent pratiquer la compassion pour soi-même et la pleine conscience pour aider avec leur procrastination. La compassion pour soi-même inclut la compréhension que les fautes se font avec tout le monde, alors on doit passer a autre chose. La pleine conscience peut inclure les exercices et pensées du positif au lieu du négatif. (Ling) En fin du compte, la seule façon d'arrêter la procrastination est d'être proactif et de reculer et vraiment regarder soi-même, les actions et leurs conséquences.
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